[f° 248. Première page d'un cahier détaché du carnet 237-255, qui occupe les folios 248-254v°. Aux folios 249-252, la partie droite du folio -le recto de chaque page du carnet- est occupée par un texte suivi, écrit à l'encre au-dessus de notes au crayon.
Ce texte réécrit le chapitre de Beeverell consacré à Londres (t. IV) en sens inverse de son emphase louangeuse exaspérante et en privilégiant les détails saugrenus, voire rabaissants,]
Il y avait jadis deux Tours de Londres: l'une à l'orient l'autre à l'occident. Depuis des siècles, il n'y en a plus qu'une, celle de l'orient. La Tour était à Londres ce que la Bastille était à Paris. ["Elle jetait sur le peuple une ombre utile au roi." barré en correction cursive] Ces spectres font sentinelle sur l'horizon des villes. Ils jettent sur le peuple une ombre utile au roi. La Tour, avec ses dépendance, avait un mille de circuit. On n'y entrait pas sans laisser à la porte son épée. Il y a là une collection de globes et de sceptres, et les trois épées du couronnement dont l'une, dite le glaive de merci, est sans pointe. [Bewerell, t. 4, p. 802-803] [+ barré] La Tour [+ barré] a été en Angleterre [ces deux mots ajoutés] jusqu'en 1697, le seul lieu où l'on battît monnaie. [p. 804]
La Cité, comme la Tour, était enclose de murailles, et avait 7 portes. On batissait tous les monuments [suite au folio 249]